# – 171e jours
4
et
5
et
2
Trois numéros pour un chiffre. Ou une combinaison de chiffres, donc de sens donc d’interprétation.
Il y a les mille et une (nuits), le six cent soixante-six (chiffre du diable), les sept (péchés capitaux), le quatre – vingt et un (jeu de dés de café, de comptoir), le vingt-deux (vl’à les flics), le 427 (l’Alligator et ses ailes de cachemire safran)
et
ce quatre cent cinquante-deux.
Quatre pour la base, le carré, l’assise, les angles, les points cardinaux, l’empereur
Cinq comme tes doigts, la main, tes mains et tes doigts sur le clavier, hésitantes et malhabiles, rouillées et froides.
Deux toi(s) et un lui, un tien vaut mieux que deux tu l’auras.
Se contenter de ce qu’on a, se retenir au bord du bocal ou du boa, oui se retenir au bord du boa, Ouroboros, se mordre la queue chaque jour, histoire de vérifier sa présence. Mordre. Se tenir aux dents, le mors aux dents. Sur le squelette, la mâchoire et les dents. Longtemps après, ce qu’on retrouve : les dents. C’est dire qu’on peut s’y tenir, enracinées qu’elles sont. Nous tiennent par les racines, qui tient qui dans cette histoire ?
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matricule 452
n° de porte, de chambre, de cellule.
# – 177e jours
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déchiffrer les signes, interpréter les indices, distraire les obsessions, maîtriser les inquiétudes, calmer les agacements, initier les harmoniques, écouter.
L’inhabituel aimante.
L’insolite installe l’inaccoutumé en ses rituels.
# – 178e jours
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Ce qu’on est censé voir de loin et qu’on touche de près.
sommeil des pommes 